Qui suis-je ?

Enfance

J’ai grandi à la campagne, au fin fond de la Nièvre, dans un village au milieu des vaches et dans lequel il n’y a aucun commerces (magasins, tabac, etc.).

Très jeune, j’ai joué avec mes copains de village, fait du vélo, joué aux cartes, construit des cabanes. J’étais à la fois créatif et très actif.

J’ai aussi vite pris gout aux activités physiques. J’en ai d’ailleurs testé beaucoup : Karaté, foot, tennis, natation, VTT, cirque, motocross

Scolarité

Je suis allé dans un collège d’environ 200 élèves toutes classes confondues. J’aimais surtout retrouver mes amis et faire rire mes camarades ! Au lycée, je ne garde pas de très bons souvenirs. J’ai eu du mal à me faire une vraie bande d’amis, je ne supportais pas de faire autant de trajet pour me rendre à l’école (1h30/jours environ). Mes résultats en plus n’étaient pas très bons. J’avais l’impression de subir ma journée du levé au couché.

Par la suite, mon ambition était de devenir journaliste. Mes résultats étant trop faibles pour une école, je me suis dirigé vers une fac de communication à Nice après avoir été refusé à Paris. Durant cette période, j’ai pris gout à la liberté : activités diverses au soleil, plage, soirées étudiantes…

Seul problème, je ne me sentais pas épanoui. J’ai finalement terminé ma licence et commencé un master en communication à Paris. La ville me plaisait, les opportunités étaient plus présentes tant sur le plan professionnel que personnel, mais la partie « études » n’était toujours pas satisfaisante.

Rupture

C’était aussi la période dans laquelle je me suis un peu perdu. J’ai eu la bonne idée de commencer à fumer des cigarettes très régulièrement et même plus. Je sortais souvent en boîte de nuit et en soirées. J’étais dans une fuite de la réalité.

Un soir, en rentrant ivre et défoncé, je me suis évanoui à ma station de métro. Il était 1h du matin et je me suis retrouvé à l’hôpital. C’est à ce moment que j’ai pris la décision de tout arrêter. J’en ai même fait une petite dépression. Cette douleur n’a pas été vaine puisqu’elle m’a forcé à me bouger. J’ai remis en question ma vie, mes choix et mes envies. Ça a été un véritable déclencheur.

Choix de vie

Dès mes débuts dans le salariat, j’ai réalisé que ce n’était fait pour moi et qu’il me fallait trouver une issue de secours. Je ne voulais pas retomber dans une fuite en avant. J’ai eu donc deux idées en tête :

  1. Partir et voyager en vivant de petits boulots. Voir ensuite pour se stabiliser.
  2. Travailler et investir mon argent pendant environ 5 ans afin de ne plus jamais avoir à me soucier de ma retraite et du manque d’argent.

J’ai choisi la deuxième option en ayant le raisonnement très simple que le temps fait la différence en investissement. Ma logique est d’investir puis attendre, pas l’inverse. Aussi, je me suis dit que je n’aurais jamais autant d’énergie que maintenant. Enfin, je voulais tirer profit de ma sortie d’études pour trouver du travail.

Je savais que l’effort serait intense, mais court. Et qu’il en valait la peine. Si c’est un échec, alors je n’aurais rien à me reprocher. Mieux, j’aurais des choses à raconter.

L’immobilier

Tandis que monde était à l’arrêt dû à la crise du covid, j’ai creusé la liste des avantages de l’immobilier. J’ai tout de suite été séduit et pensé que ce serait le point de départ le plus sûr et le plus accessible en lien avec ma situation du moment.

J’ai donc passé un concours de la fonction publique dans le but d’avoir une stabilité financière et professionnelle.

Puis j’ai mis en place un plan d’investissement. Depuis, tout n’a pas été rose. J’apprends énormément, j’y passe du temps, je fais face à des déconvenues. Mais j’aime l’idée de progrès et d’apprentissage.

Aujourd’hui, je veux que :

  • Mes investissements m’apportent une sérénité d’esprit, pas forcément une richesse immédiate.
  • Ne plus être spectateur du monde, mais acteur.

Grandir c’est agir

Mes projets financiers et personnels sont comme un long chemin qui me permet de faire évoluer mes compétences et mon état d’esprit.

Je fais de mon mieux pour mettre de côté les erreurs et regrets et savourer autant le processus que l’arrivée.

En somme, je me considère comme un vagabond et un aventurier qui fait son expérience du monde…

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